• article issu de : https://www.caf.fr


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • article issu de  https://www.asp-public.fr

     

    Validation des acquis de l'expérience (VAE) dans le domaine sanitaire et social  

    © Halfpoint - ThinkstockPhotos

     Institué par la loi de modernisation sociale du 17 janvier 2002, la Validation des acquis de l’expérience (VAE) est un droit inscrit dans le Code du travail (article L.935-1) ainsi qu’une voie d’accès aux diplômes et titres à finalité professionnelle encadrée par le code de l’éducation.

    La VAE s’adresse à toute personne, quel que soit son âge, sa nationalité, son statut et son niveau de formation, qui justifie d’au moins trois ans d’expérience en rapport direct avec la certification.

    Cette certification qui peut être un diplôme, un titre ou un certificat de qualification professionnelle doit être inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).
     

     Etape 1 : Information générale 

    Des informations générales sur la VAE sont disponibles sur le site http://www.vae.gouv.fr/vous-etes-un-particulier/ ou en appelant le centre info métiers au 0825 042 042. Un conseiller pourra vous renseigner pour l’orientation de votre demande et pour la réalisation de votre projet d’obtention de diplôme.

    Si vous souhaitez vous engagez dans la préparation d’une VAE dans le domaine sanitaire et social, un guide pratique présentant les principes généraux de la démarche ainsi que les différentes étapes du parcours est disponible sur le site de l’ASP (ou l’Unacess).

      Etape 2 : La recevabilité - livret 1 

    Pour obtenir la recevabilité pour un diplôme du domaine sanitaire ou social, vous pouvez demander le livret 1 auprès de l’ASP : http://vae.asp-public.fr/ ou par téléphone au  0810 017 710 (prix d’un appel local à partir d’un poste fixe).

    Horaires de réception d’appels : du lundi au vendredi de 9h à 20h sans interruption.

    Pour plus d’informations sur l’étape 2, cliquez ici

      Etape 3 : Le livret de validation des acquis - livret 2 

    Le candidat déclaré recevable reçoit le livret 2 de validation des acquis accompagné de la décision de recevabilité.

    Pour la rédaction du livret 2, vous pouvez demander à bénéficier d’un accompagnement qui dure entre 8 et 24 heures. Cette mesure non obligatoire est payante mais peut être prise en charge par des organismes financeurs. Contactez votre point informations conseils ou connectez-vous sur le site : http://vae.asp-public.fr/

    Pour plus d’informations sur l’étape 3, cliquez ici

      Etape 4 : Le jury 

    L’entretien entre le candidat et le jury statuant sur une demande de VAE est systématisé pour tous les diplômes ou certificats du champ sanitaire et social.

    Pour plus d’informations sur l’étape 4, cliquez ici, ou connectez-vous sur le site : http://vae.asp-public.fr/


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Le change du nourrisson

    article issu de : http://coursstms.e-monsite.com


    votre commentaire
  • article issu de  : https://www.soins-infirmiers.com

    Le change du nourrisson

     

    1. Définition

    Le change du nourrisson est un soin d'hygiène du siège qui permet au nourrisson d'être propre et de protéger ses téguments. C'est un facteur de bien-être physique et moral pour l'enfant, il permet également l'observation du corps et l'instauration d'une relation entre l'enfant et le soignant réalisant le soin.

    2. Objectifs

    • Maintenir une hygiène du siège
    • Assurer le bien-être physique et moral de l'enfant
    • Surveiller l'état cutané
    • Etablir une relation

    3. Matériel nécessaire

    • Linge :
      • 1 serviette de toilette
      • Couche
      • Vêtements propres
    • Matériel d'hygiène :
      • Savon doux ou savon surgras
      • Coton
    • Matériel divers :
      • Matelas à langer
      • Thermomètre de bain
    • Sacs à élimination des déchets :
      • Sac à élimination des déchets assimilés aux ordures ménagères (DAOM)
    • Nécessaire à l'hygiène des mains
    • Solution détergente-désinfectante et chiffonnette

    4. Réalisation

    4.1 Préparation du matériel et de l'environnement

    • Préparation de l'environnement :
      • Fermer les fenêtres afin d'éviter les courants d'air
      • Vérifier que la température ambiante de la pièce se situe entre 20°C et 22°C
      • Vérifier la température à l'aide du thermomètre de bain : l'eau doit être à 37°C
    • Nettoyer et désinfecter le plan de travail
    • Installer une serviette de toilette sur le matelas à langer
    • Réaliser une hygiène des mains : friction hydro-alcoolique ou lavage simple des mains

    4.2 Préparation de l'enfant

    • Expliquer le soin à l'enfant
    • Installer l'enfant sur le matelas à langer
    Important

    Il faut constamment mettre une main sur le nourrisson durant toute la durée du soin afin de le maintenir pour éviter une chute. En cas de besoin de se déplacer, il faut prendre l'enfant avec soi, et ne jamais le laisser seul.

    4.3 Réalisation

    • Réaliser une hygiène des mains : friction hydro-alcoolique ou lavage simple des mains
    • Déshabiller le bas du corps de l'enfant
    • Ouvrir la couche
    • Saisir les deux chevilles de l'enfant d'une main
    • Relever les chevilles afin de décoller le bas du dos et accèder aux fesses
    • Si l'enfant a des selles, essuyer le siège à l'aide de coton
    • Replier la couche sous les fesses afin de ne pas salir la serviette
    • Savonner l'enfant directement avec les mains ou à l'aide de compresses non stériles
    • Mouiller du coton puis y déposer du savon
    • Savonner l'enfant dans l'ordre suivant :
      • Les cuisses et les plis inguinaux
      • Les organes génitaux :
        • Pour les filles :
          • Ne pas écarter les petites lèvres
          • Passer un coton de haut en bas, sans faire d'aller-retour, entre les lèvres
        • Pour les garçons :
          • Ne pas décalotter
    • Saisir les deux chevilles de l'enfant d'une main
    • Relever les chevilles afin de décoller le bas du dos et accèder aux fesses
    • Savonner les fesses et le sillon inter-fessier
    • Retirer la couche et la jeter
    • Reposer les jambes de l'enfant
    • Mouiller du coton pour rincer l'enfant
    • Rincer l'enfant dans l'ordre suivant :
      • Les cuisses et les plis inguinaux
      • Les organes génitaux :
        • Pour les filles :
          • Ne pas écarter les petites lèvres
          • Passer un coton de haut en bas, sans faire d'aller-retour, entre les lèvres
        • Pour les garçons :
          • Ne pas décalotter
    • Saisir les deux chevilles de l'enfant d'une main
    • Relever les chevilles afin de décoller le bas du dos et accèder aux fesses
    • Rincer les fesses et le sillon inter-fessier
    • Reposer les jambes de l'enfant
    • Prendre du coton sec pour essuyer l'enfant
    • Essuyer en tamponnant dans l'ordre suivant :
      • Les cuisses et les plis inguinaux
      • Les organes génitaux :
        • Pour les filles :
          • Ne pas écarter les petites lèvres
          • Passer un coton de haut en bas, sans faire d'aller-retour, entre les lèvres
        • Pour les garçons :
          • Ne pas décalotter
    • Saisir les deux chevilles de l'enfant d'une main
    • Relever les chevilles afin de décoller le bas du dos et accèder aux fesses
    • Essuyer les fesses et le sillon inter-fessier
    • Glisser la couche propre sous les fesses de l'enfant : le pan de la couche avec les languettes doit passer sous les fesses et l'autre pan entre les jambes
    • Reposer les jambes de l'enfant
    • Pour le garçon, mettre le pénis vers le bas pour éviter les fuites
    • Fermer la couche à l'aide des languettes adhésives
    • Vérifier que les bords de la couches soient souples
    • Rhabiller l'enfant
    • Installer l'enfant confortablement

    4.4 Finalisation

    • Jeter les déchets
    • Nettoyer, désinfecter et ranger le matériel
    • Nettoyer et désinfecter le plan de travail
    • Réaliser une hygiène des mains : friction hydro-alcoolique ou lavage simple des mains
    • Notifications dans le dossier de suivi de l'enfant :
      • Date et heure
      • Réactions de l'enfant
      • Réactions anormales, complications, incidents, accidents

    5. Complications - Incidents - Accidents

    • Inconfort
    • Refroidissement de l'enfant si pièce trop froide
    • Refroidissement de l'enfant si eau inférieure à 37°C
    • Brûlure si eau trop chaude
    • Chute de l'enfant

    6. Surveillance

    • Surveillance des urines
    • Surveillance des selles
    • Surveillance de l'état cutané
    • Surveillance de l'hygiène du siège
    • Evaluation du bien-être physique et moral

    votre commentaire
  • article issu de : EJE journal juin / juillet 2019

     

     


    votre commentaire
  • article issu de : EJE journal juin / juillet 2019


    votre commentaire
  • article issu de : EJE journal juin / juillet 2019


    votre commentaire
  • article issu de : EJE journal juin / juillet 2019

     


    votre commentaire
  • Validation des Acquis de l’Expérience Fiche d’information Fiche d’information

     

    https://vae.asp-public.fr


    votre commentaire

  • votre commentaire
  • article issu de : http://www.doctissimo.fr

     

    Terrible two : tout savoir sur la crise des 2 ans

    Alors que votre enfant était jusqu’à présent un petit ange, il se transforme soudain en petit démon, qui dit non ! C’est la fameuse crise des deux ans ! Catherine Pierrat, psychologue, nous explique comment surmonter cette étape, également appelée ''terrible two''. 

     
     Sommaire
    1. La crise des 2 ans : qu’est-ce que c’est ?
    2. Les émotions au cœur de la crise des 2 ans
    3. Bien réagir face à la crise des 2 ans
    4. Comment sanctionner son enfant en cas de colère ?
    5. Mon enfant se roule par terre, hurle… comment réagir ?
    6. Crise des 2 ans : faut-il s’inquiéter ?

    terrible-two-crise-deux-ans

    A partir de 2 ans, voire même 18 mois, votre enfant expérimente la phase d’opposition en vous assénant un ''non'' face à toutes vos propositions, accompagné d’éventuelles crises de colère. C’est ce que l’on appelle la crise des 2 ans. De quoi s’agit-il exactement ? Comment réagir en tant que parents ? Catherine Pierrat, psychologue à Nice, décrypte cette étape et livre ses conseils.

    La crise des 2 ans : qu’est-ce que c’est ?

    A deux ans, l’enfant commence à prendre son autonomie : il maîtrise la marche, comprend beaucoup de choses, commence à maîtriser le langage et surtout a intégré le ''non'' qu’on lui assène régulièrement.

    L’enfant comprend qu’il est un individu à part entière avec ses désirs, ses goûts et ses choix.

    De plus, à cet âge, le cerveau entre dans une phase de maturation. Les zones sont bien développées mais encore immatures sur le plan de la gestion émotionnelle ce qui entraîne des sautes d’humeur, voire des colères que l’enfant ne peut pas gérer.

    Cette crise se manifeste par des refus, des oppositions, et parfois des colères. Il s’agit d’une période difficile pour les parents, mais aussi pour l’enfant : en effet, ce dernier est sans cesse tiraillé entre ''je suis trop grand pour…'' et ''je suis trop petit pour…''.

    ''Cette situation est très inconfortable et ressemble étrangement à l’adolescence, ce qui me fait nommer cette période la petite adolescence.''

    Comme pour la crise d’adolescence, cette phase est plus ou moins marquée selon les enfants, en fonction de leur caractère propre, mais aussi des événements extérieurs.

    Et si cette période peut être difficile à gérer, elle permet à l’enfant de grandir, de mûrir. C’est une étape indispensable à son développement, qui, avec l’enrichissement de son vocabulaire, et l’identification de ses émotions, favorise son autonomie.

    Les émotions au cœur de la crise des 2 ans

    Il est essentiel de discuter avec l’enfant autour des émotions. Votre enfant, même s’il sait de mieux en mieux s’exprimer, n’est pas toujours en capacité de reconnaître et nommer de lui-même les émotions qu’il ressent. Aussi, face à certaines émotions telles que la colère, la tristesse ou la frustration, il peut avoir l’impression de se sentir submergé et ne sait pas forcément comment la canaliser. D’où les crises de colère…

    Il est alors important que vous puissiez lui verbaliser ce qu’il est en train de vivre ( ''je vois que tu es en colère, que tu n’es pas content, que tu es triste…''). Il sera peut-être en capacité de vous dire oui (''oui, je suis en colère, triste…''). Cela ne signifie pas pour autant, qu’il est en capacité de reconnaître cette émotion sans votre aide, au moment où il la vit. Vous ne pouvez pas interdire à un enfant de ressentir une émotion,mais vous pouvez lui permettre de l’extérioriser autrement, et notamment après l’acquisition du langage, à travers la parole.

    Bien réagir face à la crise des 2 ans

    Lorsque votre enfant entre dans une phase colérique, plusieurs comportements sont à adopter. Il faudra donc :

    • Marquer les limites avec autorité mais sans autoritarisme : énoncer et expliquer des règles claires avec les sanctions qui en découlent si les règles ne sont pas respectées ; Et les parents doivent bien sûr appliquer ce qui a été décidé.
    • Eviter les conflits en passant le relais si vous vous sentez débordé(e).
    • Se soutenir en tant que parents. Ces derniers doivent être solidaires et cohérents dans leur attitude envers l’enfant.
    • Vérifier que l’enfant ne peut pas se faire mal pendant la colère, le prévenir qu’on quitte la pièce et qu’on est à côté, et le laisser se calmer seul sans ''assister'' à sa colère. Et pour cause, celle-ci est une forme de ''représentation théâtrale'' et s’il n’y a pas de spectateur, il n’y a plus de spectacle.

    De plus, sachez qu’il est inutile de vouloir parler à l’enfant pendant sa colère, il ne vous entend pas. Le mieux est de discuter avec lui une fois qu’il est calmé. Enfin, pour éviter des conflits inutiles, on peut utiliser la technique du ''choix limité'' pour les vêtements par exemple : ne pas lui imposer sa tenue vestimentaire mais lui laisser le choix entre deux tenues. Ainsi vous maîtrisez le choix (en fonction des circonstances et de la météo) et l’enfant peut aussi exercer son choix et ne pas avoir l’impression de ''subir'' le choix du parent.

    Comment sanctionner son enfant en cas de colère ?

    Attention, on parle bien de sanction et non de punition, la différence étant qu’on punit une personne mais qu’on sanctionne un acte. Derrière la sanction, il y a l’idée de réparation du dommage causé, dans la mesure des capacités de l’enfant. Derrière la punition, il y a l’idée d’humilier la personne, le mettre au coin avec un bonnet d’âne par exemple. La ''bonne'' sanction doit répondre à plusieurs conditions :

    • La mettre en place à distance de la colère. En tous cas, pas pendant la crise, mais elle ne doit pas intervenir trop longtemps après, car l’enfant oublie vite. Autrement dit, il faut sanctionner le plus tôt possible mais ''à froid'' ;
    • La sanction doit être utile. Elle doit permettre de rappeler les règles ;
    • La sanction doit avoir un lien avec la ''bêtise'' ;
    • La sanction doit être proportionnelle : à petite bêtise, petite sanction,
    • La sanction ne doit pas toucher aux besoins fondamentaux (alimentation, sommeil, câlins, anniversaire). On ne prive pas un enfant de dessert car cela fait partie intégrante du repas et de ses besoins alimentaires ;
    • La sanction doit être réalisable et ne pas prendre la forme d’une menace angoissante (exemple : si tu ne viens pas tout de suite, je te laisse dans la voiture) ;   
    • La sanction doit être réparatrice : l’enfant a renversé son verre d’eau, il participe au nettoyage ; il a jeté ses jouets, il les range… ;
    • A cet âge (2 ans), une sanction sous forme de gronderie sur un ton ferme constitue déjà à elle seule une sanction pour le petit enfant.

    Un exemple de sanction à manier avec précaution : le retrait (l’enfant doit rester tranquille un certain temps à un endroit déterminé : sur une chaise par exemple). Le temps du retrait ne doit pas être trop long. Avant 3 ans, il faut éviter l’isolement. Il faut le considérer comme un moyen pour l’enfant de se calmer et lui expliquer que ce temps va lui permettre de réfléchir.

    L’essentiel est que la punition reste rare. Sinon, le risque est d’entrer dans un rapport de conflit permanent où le parent sera contraint d’aller sans cesse dans la surenchère punitive. Si la punition devient le seul moyen de se faire obéir, c’est que l’autorité n’est pas établie. Une consultation chez un spécialiste peut aider à rétablir cette autorité.

    Mon enfant se roule par terre, hurle… comment réagir ?

    La difficulté des crises dans un lieu public tient au fait que les parents se sentent jugés par le regard des autres adultes et l’enfant le sent bien !

    Il est important de ne pas céder à l’enfant qui, par exemple, se met en colère parce que vous refusez de lui acheter un jouet au supermarché. Si on cède une fois, l’enfant aura tôt fait de repérer le désarroi des parents et s’en servir.

    En cas de crise, le mieux est de s’éloigner et si possible, s’isoler. Puis, détournez l’attention en lui proposant de boire un peu d’eau par exemple, et expliquez-lui d’un ton très ferme qu’il a mal agit, sans crier bien sûr. De retour à la maison, en rediscuter avec l’enfant et lui rappeler les règles. Et ne pas hésiter à féliciter et encourager l’enfant après qu’il se soit calmé.

    Toutefois, le mieux est d’anticiper pour prévenir les crises en public. Quelques pistes :

    • Habituer l’enfant très jeune à des sorties en public qui ne déclenchent pas automatiquement un achat, ou une récompense ;
    • Prévenir avant de partir des différents endroits où vous irez et pourquoi ;
    • Emporter de l’eau et un en-cas pour ne pas avoir à en acheter lors de la sortie ;
    • Emporter un petit jouet ;
    • Faire participer l’enfant à la sortie en lui commentant ce que vous voyez ou faites… ;
    • Eviter de sortir lorsque l’enfant est fatigué ;
    • Repérer les signes d’énervement de l’enfant pour rentrer à temps et ne pas faire des sorties trop longues car l’attention du tout-petit est limitée.

     


    votre commentaire
  • Isabelle Roskam : la régulation émotionnelle chez le jeune enfant

    omment la capacité de régulation des émotions se développe-t-elle chez l’enfant ? Du stade indifférencié (0 à 24 mois) au deuxième stade de développement (3 à 6 ans), les enfants font quotidiennement face à des stimuli, provoquant chez eux différentes émotions plus ou moins régulées. Aujourd’hui, Isabelle Roskam, professeure de psychologie à l’Université de Louvain (Belgique), nous explique comment l’acquisition de nouvelles compétences et l’interaction avec des co régulateurs (parents ou professionnel(le)s) jouent un rôle clé pour la régulation émotionnelle, et bien sûr pour le bon développement de l’enfant. | L’expérience de la face impassible : https://www.youtube.com/watch?v=OgzWq...


    votre commentaire
  • Boris Cyrulnik : le bébé créateur et scientifique

    Aujourd’hui, Boris Cyrulnik nous permet de découvrir quelques traits des bébés créateurs, scientifiques et libres explorateurs. Eh oui, les bébés sont de formidables expérimentateurs ! Ils créent et expérimentent au quotidien. Pour aller plus loin, n'hésitez pas à lire notre dernier article de blog : https://libre-exploration-educative.o... Partagez vos expériences avec les petits explorateurs en commentaires ! | Rendez-vous tous les jeudis à 16 heures pour découvrir une nouvelle vidéo ! N'hésitez pas à vous abonner et à activer la cloche de notifications pour être informé(e) de chaque sortie.


    votre commentaire